En France, dans le secteur de la philanthropie, des réflexions ont pu émerger autour des liens complexes mais forts entre fondations abritantes et abritées, et la nécessité de permettre un fonctionnement optimal de ces structures, pour un meilleur financement des actions d’intérêt général.
Jean-Marie Destrée, invité du Think Tank de la Philanthropie, est intervenu au sujet des liens et relations entre les fondations abritées et abritantes, et leurs grandes tendances d’évolution.
Frédéric Bardeau est le fondateur du projet Simplon, qui forme des personnes sans emploi à la pratique du numérique, mais également conférencier et formateur, spécialiste des sujets d’IA.
Il nous apporte dans ce podcast son éclairage sur les liens existants (et à déterminer) entre la philanthropie et l’intelligence artificielle.
Comment se servir de l’Intelligence Artificielle pour viser le bien commun ? Frédéric Bardeau nous répond dans ce podcast. Bonne écoute !
François Gave est représentant spécial pour la responsabilité sociétale des entreprises et la dimension sociale de la mondialisation au ministère de l’Europe et des Affaires étrangères de la France.
Dans son intervention pour les Assises de la Philanthropie, il est revenu sur les liens étroits entre philanthropie, influence diplomatique et représentation d’un Etat à l’étranger.
Quel rôle la philanthropie joue dans les échanges et les bons rapports entre les puissances mondiales ?
Vous trouverez ses éclairages et sa vision dans l’épisode du podcast.
Isabelle Verrecchia est Déléguée Générale de la Fondation M6, qui vise la réinsertion socioprofessionnelle des personnes ayant connu un épisode carcéral.
Pour cela, la fondation contribue à la lutte contre la récidive par un engagement de terrain et favorise le décloisonnement entre l’univers carcéral et la société civile afin de sensibiliser et changer les regards sur le rôle de la prison.
Est-ce une prise de risque philanthropique que de positionner sa cause autour d’un univers qui ne fait pas toujours consensus ?
Isabelle Verrecchia nous a apporté sa vision et son expérience autour de cette question.
Edouard Morena est maître de conférences en science politique à l’University of London Institute à Paris et auteur de plusieurs livres dont Le Coût de l’inaction climatique et Fin du monde et petits fours.
Portant un regard assez critique sur la philanthropie, il explique néanmoins que celle-ci possède un rôle dans l’action climatique, en promouvant une diversité d’approches et de solutions.
L’enjeu s’est déplacé vers une prise de conscience de l’enjeu climatique et sur le choix de la stratégie que nous allons déployer pour assurer une transition bas carbone.
Dans ce contexte, la philanthropie peut favoriser la confrontation démocratique d’une multitude d’approches, plutôt que d’œuvrer à une forme d’uniformisation en finançant toujours les mêmes acteurs qui portent toujours les mêmes solutions. La diversité me semble être un registre dans lequel la philanthropie peut jouer un rôle.
Dans ce podcast, Edouard Morena expose les solutions envisagées au niveau de la philanthropie, d’autant que les résultats des politiques mises en place jusqu’ici peuvent interroger.
Delphine Bottge est la fondatrice du cabinet Purpose Lawyers à Genève, qui accompagne des philanthropes et leur famille, des entreprises et leurs dirigeants ou fondations, en s’impliquant à leurs côtés pour la réussite et la pérennité de leurs projets. Delphine Bottge est également enseignante à l’Université de Genève a dédié son ouvrage « Les fondations actionnaires en Suisse » à cette thématique.
Pierre-Edouard Stérin, serial-entrepreneur, créateur du groupe Smartbox, mais également philanthrope (voire phil-entrepreneur), nous livre à travers cet épisode l’origine de sa démarche philanthropique, mais aussi les perspectives de son projet et les difficultés qu’il a pu rencontrer.
Retrouvez le contenu de son intervention dans le podcast :
Maître Laurent Mazeyrie, notaire spécialiste de la fiducie philanthropique et Frédéric Grosjean, responsable des legs et de la gestion du patrimoine immobilier à l’Institut Pasteur, reviennent sur la définition et la mise en application de la RAAR (Renonciation Anticipée à l’Action en Réduction), également appelée Pacte de famille.
Cette technique d’anticipation successorale est peu connue en France, alors qu’elle n’est pas neutre en termes de succession puisqu’elle permet que des héritiers acceptent, du vivant de leur parent, d’être héritier pour une part inférieure à la réserve.
Qu’est-ce que la RAAR ? Comment se met-elle en place ? Dans quels types de situations des testateurs y ont recours ?
Toutes les réponses sont dans notre podcast :
Maître Louis Hude, notaire chez Michelez Notaires, spécialisé dans le conseil aux associations et congrégations et Frédéric Grosjean, responsable des legs et de la gestion du patrimoine immobilier à l’Institut Pasteur nous partage leurs réflexions sur les avantages et les limites de la RAAR (Renonciation Anticipée à l’Action en Réduction).
Une technique d’anticipation successorale est peu connue en France, alors qu’elle n’est pas neutre en termes de succession puisqu’elle permet que des héritiers acceptent, du vivant de leur parent, d’être
héritier pour une part inférieure à la réserve.
LA Renonciation Anticipée à l’Action en Réduction (RAAR) ou plus généralement la réserve héréditaire est-elle un obstacle au développement de la philanthropie ? Comment se passe à l’Institut Pasteur la relation avec les testateurs pour les accompagner dans leur projet philanthropique ?
Retrouvez les réponses à ces questions dans le podcast ci-dessous :